11 décembre, 11h
Je suis dans l'Histoire depuis quelques jours, à lire et à scruter et à détecter l’indicible.
L'histoire, est tout d’abord et depuis toujours, le lieu de l’opacité. L’histoire des soixante dernières années réécrite en dehors du silence mais sous une plume soucieuse de réhabiliter : légitime entreprise. La subjectivité peut, cependant, mettre mal à l’aise.
La politique a les mains sales, je n’ai pas inventé le fil à couper le beurre. Tellement sale, avec ses impostures, ses affabulations, ses hommes de main, ses montages et ses trucages, ses campagnes propagandistes si multiples aujourd’hui et si versées dans le théâtre, le cinéma et les techniques de scénographie moderne.
Puanteur extrême. Sans vergogne, le même procédé est repris à tout-va et rebelote. Et même que le mécanisme est si bien rôdé que tous les systèmes y ont recours, quels qu’ils soient. L’équation est simple : il n’y a que des sujets dans l’esprit de ces tireurs de ficelle. La citoyenneté n’est que parure.
Mains sales, concussion, culte de soi, balisage des terres en friche, esprit totalitaire, concentration des pouvoirs … La démocratie est dictature, d’une certaine façon.
L’Histoire n’a jamais été objective.
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