- Pourquoi justement ?
- Je ne crois pas, aujourd’hui, qu’il s’agît de choix, du moins pas complètement. Il y a un déterminisme qui nous guide, qui obéit à nos carences ou à notre trop-plein ou à notre déséquilibre psychique, à notre image de nous-mêmes. Je crois qu’à la base, il y a un système comparatif qui est agissant.
- Veux-tu m’expliquer moins métaphoriquement ? Quoi que j’aie assez capté …
- Oui, je sais, que tu saisis les choses.
- Ce système comparatif que tu décries d’ordinaire, pourtant.
- Il y a une partie consciente et une autre inconsciente. Oui, vivre sur la base de ce système, est, pour le moins, négatif. Mais nous n’avons pas tout en main.
- Maman, pourquoi, ce choix ?
- Il s’est imposé. Il y a d’autres facteurs aussi. Et il y a, en route, un accord avec soi-même.
- Il s’est imposé ? D’autres ne se sont pas présentés ?
- Si. La première pierre a été dictée par le déterminisme.
- Le déterminisme a donc eu raison de toi !
- Oui. D’autres facteurs aussi.
- C’était quand même assez risqué.
- Je crois que le risque est une composante indépassable pour tous. Une fois la démarche adoptée, il y a un chantier de vie. On veut le mener à bien.
- Quelquefois, voire souvent, ça claudique « coumême »
( Sourires inégaux )
- Oui, des couacs, nombreux. Ce n’est pas aisé.
- Maman, stp, peux-tu répondre un peu plus clairement ?
- Quand nous serons seules Div.
( Clin d’œil )
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