La vie fait pleurer de sensibilité et la mort fait pleurer d'absence. La vie fait pleurer de finitude et la mort fait pleurer d'incompréhension. La vie vous suspend de vie et la mort vous nargue de faiblesse. Et entre les deux, je m'en mêle les pieds et je vois filer les soleils.
Un morceau de musique, je colle aux notes qui m'arrachent des pans.
Je sens le souffle et ne vois plus mes mouvances.
Écartelé l'Etre entre ce qui est et ce qui n'est plus. Et dans le désarroi, le voilà déjà plus las, plus là.
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