Lutèce est plus que jamais boueuse aujourd’hui
Tandis que Paris riait de nos pérégrinations.
Juillet, tu te dévêts sous mes rires
Enfant, heureuse de te retrouver un peu.
Une solitude désastreuse et que de châteaux en cendres.
Bel enfant, simple, assumant son être,
Femme obstinée en haine du jeu et du mensonge.
Ce fut tellement court.
Tu fus si en peine,
Solitude voulue et hurlements sourds.
Départ de détresse,
Départ de soif,
Départ de chagrin pudique,
Départ de tant de silences,
Remplis d’errance.
Tu as pour toi la beauté d’avoir été vraie.
Mon amie si seule.
Mon amie si seule.
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