samedi 2 janvier 2021

Rire est le propre de l'homme :)))


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Un matin, des graines, un café et des pensées.







 

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Un être de rires qui a bifurqué. 

A-t-on le choix ? 

A-t-on toujours le choix ? 

Le regard s’obscurcit des brèches lointaines. Et il faut plâtrer et re-plâtrer.

Ardu.



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Cette mobilité artistique, fine et sensible … Un être de don de soi. Enfant de La Bleue, à courir pour extraire ( rires ). Une après-midi lointaine où elle claqua la porte sa toile sous le bras … 


"Cette génitrice tyrannique !"


- Samahni Amore, je t’aime de toutes mes connexions synaptiques quand je suis au clair. 


Aujourd’hui que je n’ai plus à harceler pour atteindre les astres. Tu es l’Édifice même, couleurs, formes, regards et imaginaires multiples. Valkyrie de ma vie, mon Premier Amour.



 

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Cet esprit dur, ces yeux d’enfant maquillés, à se couvrir au point de se déguiser. Pleurer est une intelligence émotionnelle. Du balai à ce background culturel faux et bête ! 


Ce n’est pas ce que j’ai arrosé. 


Immense être de sensibilité refoulée, je t’aimerai jusqu’à la fin de mes jours. 

Sois rationnel, adopte des gestes d’éclats, d’attouchements célestes, toi que j’ai scruté à la perspicacité détestable des yeux d’une mamma italienne !


Mon génie à moi, je balaie le monde de ton être de happe, sois ou consens à être plus humain ! Je suis le nez de Cyrano :)

Tu seras la Voix frayante. Toujours.




 

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Cette enfant-adulte qui berne vos yeux à force de draps … Cette enfant perspicace et constructrice. Soleil et rayons vivifiants. Partout où tu es, la lumière est chaude. Tu es entière de mes fibres tendres, de mes cellules régénératrices. 


Comment fais-tu pour être si coriace au milieu des vagues, Sirène de ma Méditerranée ? 


Tu es moi, dans Eluard et Baudelaire, dans Dostoïevski et Lucrèce, dans Sophocle et Aragon, dans Frida et Matisse, dans toutes nos dilatations livresques et ontologiques. Je t’aime comme Elle, comme Lui, comme Toi, miroir de mon être sensible et existant.


 

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Il y a l’amitié chaotique de cet esprit en proie aux nœuds et aux vampires, aspie de l’esprit, assis sur une caqueteuse dispenseuse de procrastine. Lève-toi et troue le voile ! Insuffle ton enveloppe de corrections utiles !


 

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Et puis, un vent souffle d’un Sud aride. Besogneux paré d’étoiles. Que le Scribe n’ait rien suspendu de ton optimisme clair ! Lumière, sourires, sérénité de l’âme, pourvoir est-il dans le battant ou dans le toucher ? Je hais l’âme absente et nie l’invisible. Je te parerais de pinceaux, de plumes, de mots et de subversifs dans mes rêves dadaïstes afin que tu restes compacte. 


On ne peut ce qui n’est pas.





 

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Et puis l’Absence dont l’infini pouvoir est de catapulter à remplir, à chercher, à lever, à dévoiler, à poser, à sculpter, à remplir. Merci l’Existence de cette force d’exister. Énorme élan de durer. Et toute ma détestation du désespoir parce que Vivre est un devoir.


 

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L’Homme aux sourires, bonheur à venir, léger et rieur, constructeur et humain. Les pièges sont du passé, enterrés, disséminés par les rongeurs dans les trous laids de l’histoire. La vie est à toi, à vous, dans les bras de la Belle Méditerranée. Un bienheureux à la droite du créé. Parmi nous dans le rire et l’oubli. 









 

 

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