Drus des jours et des nuits, grand est le portail du rêve, du possible même.
De nouveau dans l’ignorance de ce qui ronge, dans ce passé lointain des nuits étoilées. Et je les vois ces êtres vifs d’alors, je les entends, vivre pour moi, pour mon architecture et mon obsession du Beau.
Drus du cœur et de la pensée, ma plume peine à trouver l'encre juste pour tracer ce don de soi si prompt et si humain.
Des perles, un sourire et le bleu intense de cette île de coton complice d’un amour hésitant, battant et inquiet.
Pourquoi faut-il que le temps soit si court, que les minutes s’éteignent dès après les flots, que cette quête si forte de l’Autre soit entravée ?
Quel bonheur, ce calme de la mer après l’intempérie,
Quelle douceur ces silences prolongés d’accords tissés,
Et puis ces rires légers des battements tranquilles et sains.
La passion répond à plusieurs noms
Et le tien est le plus doux.
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