Je suis la traductrice du vent
Un oiseau se posa
Nous nous comprîmes
Beau, gonflé et fier.
Un sourire, de la mi-journée
De mon compagnon de traduction de l’autre côté du mur invisible.
Ténue la distance, sans mots, à vrai dire
Que ceux de l’avant-saut.
Les Mots et le Beau et les Mains chercheuses et l’Esprit en Cavale
Sont l’unique Vérité.
Quand le reste est englué dans le mythe, pas toujours salvateur,
Plutôt racoleur et castrateur d'envols, oui.
Et avec les Mots et le Beau et les Mains chercheuse et l’Esprit en Cavale
Il y a la résilience pour les jours de pluie.
Et la pluie, seule, laisse voir le vert tendre.
Alors qu’il pleuve, qu’il tonne,
Des averses.
Les Mots sont là et le Beau et les Mains chercheuses et l’Esprit en Cavale
Et l’oiseau que voici.
Rose à toi Compagnon du sensible et de l’intelligible
Tu fus prompt en traductions
Très belle !
RépondreSupprimerTrès belle !
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