Ce décembre béni des hommes, aux odeurs chaudes de cannelle, de miel chaud, de noisettes torréfiées, d’anis … Ce mois de clôture que l’on aime parer de rouge, d’or, d’argenté, de pétillants et de lumières. Ce mois de café chaud, de thé aux fruits rouges que l’on supplie bellement d’annoncer du beau, du bon et du joyeux.
Nous fêtons tout et nous en inventons d’autres : des fêtes, du rire et des tablées. Parce que rien ne vaut le rire et le partage. Libres, ce sont toutes les fêtes, plus nos inventions.
Les traditions ne veulent rien dire, elles peuvent même être dangereuses quand on y croit beaucoup. Rien ne vaut la légèreté, les airs du bonheur que l’on peut tisser nous-mêmes.
Les religions divisent, ce sont des mythes, il faut savoir construire son humanisme loin des diktats intentionnés du passé lointain. Les politiques et les théoriciens s’amusent de vous, de nous. Ce sont de fieffés menteurs et Ici tout est gestes d’Hommes.
Voilà pourquoi, toutes les fêtes sont les nôtres. Voilà pourquoi la seule vérité est l’Homme et son Œuvre de vie.
L’Existence est amour, gestes vers l’autre et Art de nos dix doigts, de notre entendement.
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