Paris, vendredi 12 juillet.
Café de la Paix
Je prends mes quartiers dans mon café d’antan. J’adore Paris et j’adore m’imaginer au début XXème. Mes amis surréalistes m’étonnent tous les jours, je les trouve moins nihilistes que les dadaïstes et plus créatifs. Bien sûr un peu fous comme tous les artistes que j’aime.
Là je pense à Giacometti et je ris sous cape. Mon fils : Maman, ce n’est pas l’insécurité à tout va mais pas la peine de te balader à la Pompadour.
Divine : Mom fais attention quand même.
Moi : Advienne que pourra mais je suis vigilante, ne t’inquiète pas.
Giacommetti, renversé par une voiture : Enfin quelque chose m’arrive !
J’adore Paris, j’adore surtout mes enfants, ce n’est pas le même amour de toute façon. Mais il y a un moment où on s’en fiche un peu.
Puce d'Acier : Man, Tinder, c'est selon, ce n'est pas des plans comme tu crois, ça peut être des personnes intelligentes aussi.
Les personnes intelligentes se passent donc de plans. Hilare.
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