VII.
Parce que dans l'Existence, il y a des hommes et des femmes, une chaumière et du bric à brac, un ventilateur pour aérer une maïeutique fantasque souvent.
Un Homme est assis à un bureau d'époque, à la surface ébréchée par endroits, un magnifique bureau et un Homme dans toute sa splendeur d'entité réflexive.
Il lisait, réfléchissait et écrivait, s'arrêtait, reprenait et en proie au désir impérieux d'étayer, il lui arrivait d'interrompre son travail. Un Homme de travail, mi-fermier, mi-philosophe en attente de signes et profondément imprégné.
Les journées d'été sont longues et chaudes et toutes en impressions. Cela bruissait et cet Homme attendait dans un corps sain et travaillé. Un corps maîtrisé et commandé.
Je me plais à me frayer un chemin à lui, à lui, dans la douceur du silence. Cet Homme est à moi. Ses yeux sont mes yeux, sa main est ma main et sa peau est mienne.
Je me plais sur la pointe de ma plume à envahir son espace d'homme, ses idées et son entité. Je le veux mien avec ce corps qui respire et cette réflexion qui s'exerce.
Quelle belle chaumière et quelle belle trame, une traversée longue de senteurs et de saisissements, un homme à la peau tendre que mes sens chérissent et dont rêve mon moi.
Et ce ventilateur aux pales poussiéreuses qui me nargue pour l'heure et dont je rêve la posture.
Parce que dans l'Existence, il y a des hommes et des femmes, une chaumière et du bric à brac, un ventilateur pour aérer une maïeutique fantasque souvent.
Un Homme est assis à un bureau d'époque, à la surface ébréchée par endroits, un magnifique bureau et un Homme dans toute sa splendeur d'entité réflexive.
Il lisait, réfléchissait et écrivait, s'arrêtait, reprenait et en proie au désir impérieux d'étayer, il lui arrivait d'interrompre son travail. Un Homme de travail, mi-fermier, mi-philosophe en attente de signes et profondément imprégné.
Les journées d'été sont longues et chaudes et toutes en impressions. Cela bruissait et cet Homme attendait dans un corps sain et travaillé. Un corps maîtrisé et commandé.
Je me plais à me frayer un chemin à lui, à lui, dans la douceur du silence. Cet Homme est à moi. Ses yeux sont mes yeux, sa main est ma main et sa peau est mienne.
Je me plais sur la pointe de ma plume à envahir son espace d'homme, ses idées et son entité. Je le veux mien avec ce corps qui respire et cette réflexion qui s'exerce.
Quelle belle chaumière et quelle belle trame, une traversée longue de senteurs et de saisissements, un homme à la peau tendre que mes sens chérissent et dont rêve mon moi.
Et ce ventilateur aux pales poussiéreuses qui me nargue pour l'heure et dont je rêve la posture.
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