Un môme vite grandi très certainement dans les remous de l'incompréhension. L'incompréhension, son terme propre. Et parce qu'elle savait - allez savoir comment !- les profondeurs labyrinthiques du questionnement, tout ce temps douloureux et perdu à vouloir pêcher dans les eaux sombres, vieilles et inexpliquées et je ne sais quoi encore, les samedis d'O vêtent désormais l'amour de l'autre, la main tendue, le mot-câlin doux et réparateur, le bâtissement des strates.
Laborieux, par à-coups quelquefois mais toujours devant afin que l'être prenne le temps pour ce qu'il est, une fuite. Afin que tôt l'on apprenne à l'innocence à se désencombrer. Afin que l'abord de chaque instant soit chargé de légèreté. Car seulement ainsi l'envol est libre, le rire clair et l'avancée forte des trébuchements qui se glissent malgré le filet.
Qu'importe les guerres, qu'importe les couacs, qu'importe l'obscur, qu'importe d'avoir mal quand on a son quart d'heure à remplir et à faire voltiger.
Les samedis d'O sont des moments de tendresse là où elle peut en donner parce qu'elle en a plein la tête, plein le cœur et pour faire voltiger son quart d'heure propre.
Strates par strates, sourire par sourire, ligne par ligne, mot par mot, gommer et gommer, décrypter et décrypter, du sens et du sens, du beau plein la tête sur une toile juvénile et belle.
O, de belles virées en perspective et la promesse de l'aube comme dit Romain !
Laborieux, par à-coups quelquefois mais toujours devant afin que l'être prenne le temps pour ce qu'il est, une fuite. Afin que tôt l'on apprenne à l'innocence à se désencombrer. Afin que l'abord de chaque instant soit chargé de légèreté. Car seulement ainsi l'envol est libre, le rire clair et l'avancée forte des trébuchements qui se glissent malgré le filet.
Qu'importe les guerres, qu'importe les couacs, qu'importe l'obscur, qu'importe d'avoir mal quand on a son quart d'heure à remplir et à faire voltiger.
Les samedis d'O sont des moments de tendresse là où elle peut en donner parce qu'elle en a plein la tête, plein le cœur et pour faire voltiger son quart d'heure propre.
Strates par strates, sourire par sourire, ligne par ligne, mot par mot, gommer et gommer, décrypter et décrypter, du sens et du sens, du beau plein la tête sur une toile juvénile et belle.
O, de belles virées en perspective et la promesse de l'aube comme dit Romain !